Qui était Antony Sutton...

Hommage à Antony Sutton : Reproduction quasi intégrale d’un très bon article paru dans le bulletin bimestriel SOUS LA BANNIÈRE, LES GUILLOTS, 18260 VILLEGENON, FRANCE.
En hommage à monsieur Anthony SUTTON, historien américain, décédé le 16 Juin 2002, avec qui j'avais échangé quelques courriers ... très amicaux... en Octobre 2001... (LIRE)


"Antony C. Sutton est né à Londres (Angleterre) en 1925 mais passa la plus grande partie de sa vie aux Etats-Unis (40 ans) après sa naturalisation.
De formation universitaire (Economie, Génie Civil), Antony Sutton exerça dans les Industries minières et de l’acier.
Diplômé des Universités de Londres, de Gôttingen et de Californie, A. Sutton sera, dans les années 60, professeur d’Economie àl’Université d’Etat de Californie (Los Angeles) et pendant sept ans, chercheur à l’Université Stanford (Fondation Hoover).
Ce fut pendant son séjour à Stanford qu’il écrivit l’ouvrage définitif en trois volumes sur les “sources” de la technologie soviétique « Western Technology and Soviet Economie Devetopment », toujours réimprimé vingt-cinq ans après sa parution...
Dans sa Lettre d’Information, Pierre de Villemarest, éminent spécialiste des questions mondialistes, écrit que « Sutton fut le seul auteur qui ait jamais disséqué les contrats grâce auxquels les totalitarismes nazi et soviétique ont pu vivre et survivre économiquement.
Cela lui a d’ailleurs valu la haine et le harcèlement d’Illuminati ou « agents des Illuminati » tels que David Rockefeller, Averell Harriman, Henry Kissinger...
Sutton était « indésirable » dans les médias, jusqu’en France où le nom d’Antony Sutton n’était connu que des seuls « spécialistes en Mondialisme ».
Inutile de dire qu’aucun de ses ouvrages n’a été traduit dans notre langue...
En conséquence notre auteur méritait bien un hommage pour ses travaux d’écrivain « non aligné » qui déplaisaient fortement aux « Maîtres du Système ».
Revenons à « Technologie Occidentale ».
Dans cette monumentale oeuvre de 1300 pages, A. Sutton démontre la dépendance technologique de l’URSS, dès les années 30, vis à vis de l’Occident et conclue qu’à 2 ou 3 exceptions près toutes les innovations technologiques provenaient des Pays de l’Ouest, si « décriés » par le Régime Bolchevique...
L’Occident a bâti, soutenu, financé la Dictature Rouge dès les origines.
Sans un tel soutien logistique, un régime aussi inique n’aurait pas survécu !!!
On comprend que les Architectes de cette Conspiration n’aient pas du tout apprécié les révélations gênantes d’ Antony Sutton et se soient dépensés sans compter pour tenter d’occulter ses travaux...
Dans la foulée, Antony Sutton publia, comme pour enfoncer le clou, un ouvrage complémentaire intitulé : « National Suicide. Military Aid to the Soviet Union » dans lequel il accusait l’ « Establishment » d’avoir fait tuer des américains au Viêt-nam avec.., la technologie US ! ...
Cet ouvrage sera réactualisé en 1986 sous le titre « The Best Enemy Money can buy », grâce à une montagne de documentation provenant en majorité de sources gouvernementales et de sociétés “commerciales”...
Sutton insistait sur le fait que la technologie militaire soviétique était très dépendante des dons des pays « libres » (dont les E.-U.), du « commerce pacifique » et des programmes d’échanges.
Tout leur fut construit ou vendu depuis le bobinage en cuivre jusqu’ aux camions militaires, en passant par la technologie du guidage des missiles, des ordinateurs, et même de la Navette Spatiale !
Des centaines et des centaines de millions de dollars dépensés sans compter pour maintenir à flot la machinerie soviétique ...
Suite à ces révélations « indélicates », la Fondation Hoover, sur la pression de la « Maison Blanche », retira alors sa « bourse de recherches » à Antony Sutton, qui perdit son poste.
C’est une constante que les « forces de ténèbres » ne supportent pas la moindre révélation sur leurs activités subversives.
Intrigué par la nature de l’attaque dont il avait été la victime, et surtout par les forces puissantes qui avaient dirigé cette agression, Antony Sutton décida de mener une enquête approfondie sur lesdites forces et publia dans les années 70 une trilogie sur le soutien politique et financier que les Banquiers Internationaux de Wall Street avaient accordé à trois « variantes » du Socialisme.
Ainsi parurent « Wall Street and the Bolshevik Revolution », « Wall Street and the Rise of Hitler » et « Wall Street and FDR » (Franklin Delanoe Roosevelt).
Dans « Wall Street and the Bolshevik Revolution », A. Sutton dévoile l’action des dirigeants de la firme bancaire Morgan dans l’acheminement illégal de l’Or Bolchevique vers les Etats-Unis, mais aussi le rôle subversif de la Croix Rouge Américaine en Russie, cooptée par de puissants intérêts de Wall Street.
On y apprend également quels sont les hommes de Wall Street qui intervinrent pour libérer Trotsky de façon à ce que le futur organisateur de l’Armée Rouge fût en mesure de déclencher la « Véritable Révolution », cette sanglante révolution de 1917 qui renversa Kérensky, franc-maçon notoire dont le rôle consista à préparer le terrain aux « bouchers du Kremlin ».
Sutton dévoile les marchés passés entre les grandes firmes et les soviétiques dans le but précis d’accaparer le gigantesque marché russe plus de 15 ans avant que le Gouvernement des Etats-Unis ne reconnaisse le Régime Soviétique...
Pour la première fois, les liens étroits entre quelques banquiers de New-York et de nombreux révolutionnaires étaient prouvés avec des documents inattaquables, par un universitaire de renom.
Soutenant en façade (= publiquement) le mouvement anti-bolchevique, cette immonde « pègre financière » tissait des liens durables dans les coulisses de la politique, avec.., les Bolcheviques.
Poursuivant sur sa lancée, A. Sutton publiait en 1975 « Wall-Street and F.D.R.», exposant les liens entre Roosevelt et la Haute Finance Internationale, le quartier général de la Conjuration Mondiale se situant à Wall Street au n0 120 ...
Roosevelt tissa en effet des liens très étroits avec ces banquiers, de 1927 à 1934.
Ce sont les mêmes banquiers apatrides qui conseillèrent Roosevelt pour le lancement de la politique socialiste de “New Deal” (Nouvelle Donne), contribuant à l’essor du Socialisme officiel aux Etats-Unis.
C’est ce qui ressort des papiers personnels de Roosevelt qui appliqua strictement les consignes données pour l’édification de cette Nouvelle Société Mondiale.
La clique financière de Wall Street voulait que les politiques édifient une Société Socialiste car le socialisme nivelle par le bas, appauvrit et permet de mieux contrôler les peuples.
Roosevelt se fit donc le héraut de cette sinistre politique et devint l’agent de l’Illuminati Bernard Baruch, gouvernant occulte des Etats-Unis et ... d’une grande partie du monde.
Rappelons que ce fut à cette époque que Roosevelt, toujours soumis aux diktats de ses mentors, fit placer la « pyramide illuministe » sur le billet de 1 dollar, en 1933 très exactement.
Les « Maîtres du Monde » sentaient que des pas gigantesques avaient été accomplis vers leur objectif de Domination Mondiale et ne pouvaient s’empêcher de « marquer leurs territoires », à l’aide de symboles très explicites, pour des initiés...
En 1976, A. Sutton concluait avec son remarquable “Wall Street and The Rise of Hitler”.
Ce furent les financiers américains qui procurèrent à Hitler l’argent et le matériel destinés à provoquer la Deuxième Guerre Mondiale.
Trente ans d’erreurs, de mensonges, de duplicités pulvérisés en un ouvrage de 220 pages bourrées de documents et de références indiscutables.
Livre qui permit à Pierre de Villemarest d’écrire son excellent livre intitulé : « A l’ombre de Wall Street. Complicités et Financements Soviéto-Nazis ».
Dans son troisième volet, Antony Sutton prouvait que non seulement la 2e Guerre Mondiale avait été programmée mais qu’elle fut aussi extrêmement profitable à un groupe restreint d’ « insiders » de la Haute Finance.
Sutton a eu recours à des documents originaux et des témoignages de première main qui jettent une lumière crue sur des secrets sévèrement gardés jusqu’ici et que les grands financiers ne pensaient pas voir remonter de sitôt à la surface.
Nous disposons ainsi d’un éclairage unique sur le rôle joué par les J.P. Morgan, T.W. Lamont, H. Ford, les intérêts Rockefeller, la « General Electric », Standard Ou, National City Bank, Chase & Manhattan Banks, Kuhn Loeb & Co et quantité d’autres affairistes de haut vol.
La Haute Finance Internationale se penchaient dès le début sur le berceau du « National-Socialisme » dans le but de provoquer moins de dix ans plus tard la plus terrible guerre que le monde ait jamais connu jusque là, à savoir la deuxième étape du Plan « Pike-Mazzini ».
Les mêmes hommes, les mêmes firmes internationales financèrent la Révolution Bolchevique, le « New Deal » de Roosevelt et le National-Socialisme !!!
Est-il besoin de mentionner que les révélations documentées d’Antony C. Sutton déplurent fortement et que l’ « Establishment » US lui voua dès lors une haine profonde qui alla en s’amplifiant...
Antony Sutton ne s’arrêta pas en si bon chemin.
Ayant appris beaucoup trop de choses sur les agissements de la Haute Finance Internationale et sur les Cercles Mondialistes, il publia un ouvrage en deux parties sur les « Guerres et les Révolutions » (Wars and Revolutions) et ceux qui les commanditent pour l’avancement de leurs plans.
De même il publia un ouvrage très documenté en deux tomes sur le sujet de la « Trilatérale » : « Trilaterals over Washington », cette fameuse société mondialiste créée en 1973 par le banquier et homme d’affaires international Rockefeller.
Société bien décortiquée par Yann Moncombledans son livre intitulé : la Trilatérale et les secrets du mondialisme.
A. Sutton réécrira entièrement son livre en deux tomes, incorporant de nouveaux documents reproduits photographiquement, mais en les publiant cette fois-ci en un seul volume, sous le titre « Trilaterals over America ».
Cet ouvrage important complète très utilement celui de Yann Moncomble par la documentation qu’il fournit et les pièces inédites qu’on ne trouve pas chez notre auteur français.
A la lecture d’un tel livre on saisit sans ambages le rôle détestable de cette société du « Nouvel Ordre du Monde » qui se met en place et ses ingérences insupportables dans tous les domaines : imposition, agriculture, fausse paix, ententes avec les socialo-communistes, domination bancaire, utilisation de la drogue dans une optique très particulière : celle d’exercer un contrôle de plus en plus étouffant sur les populations pour arriver sans difficulté à la Domination du Monde Entier !
Cet ouvrage contribua sans aucun doute à rendre encore plus « sympathique » Antony Sutton aux yeux des « Trilatéralistes » et autres gangsters mondialistes...
Nous n’avons signalé que les oeuvres majeures d’Antony Sutton, qui a rédigé plus d’une vingtaine de livres dont « Technological Treason » ; The Diamond Connection ; The War on Gold ; Energy, the Created Crisis, qui abordèrent à tour de rôle différents aspects de la « Domination du Monde » et du Nouvel Ordre Mondial : la trahison technologique au profit de l’Est ; les pierres précieuses, l’Or, l’Energie (une crise créée de toutes pièces par les Grands Cercles Mondialistes, les Grands Trusts Pétroliers, etc., tous liés dans le même « Complot »...).
Antony Sutton avait donc pénétré bien des secrets du « Gouvernement Occulte du Monde ».
Mais aussi bizarre que cela puisse paraître, il n’était pas satisfait à cent pour cent.
Après 16 livres et 25 ans de recherches fondamentales, il pensait avoir tout vu, que le monde n’était finalement que le règne de la confusion à l’état pur, au-delà de toute intelligibilité, éloigné de toute notion de salut et qu’il n’y pouvait malheureusement pas grand chose...
En 1968 il se rappelait avoir fait publier par la Hoover Institution, à l’Université Stanford, ses volumes sur « Western Technology and Soviet Economic Development ».
En 3 volumes substantiels il avait expliqué « en long, en large et en travers » comment l’Occident avait édifié l’Union Soviétique.
Toutefois ce travail suscitait des interrogations en apparence insolubles pourquoi avait-on fait cela ?
Pourquoi avait-on édifié l’Union Soviétique et opéré à de nombreuses reprises des transferts de technologie à destination de l’Allemagne Hitlérienne ?
Pourquoi à Washington voulait-on occulter ces faits ?
Pourquoi avait-on renforcé la puissance militaire soviétique et simultanément la nôtre ?
Dans des ouvrages ultérieurs, la série des « Wall Street », A. Sutton avait accumulé d’autres questions, mais n’avait toujours pas apporté de réponse à ses interrogations profondes.
Il était arrivé plus ou moins à la conclusion qu’aucune réponse rationnelle ne pouvait le satisfaire pleinement.
C’est alors, qu’en 1982, il reçut une liasse de documents d’une vingtaine de centimètres d’épaisseur.
Rien moins que des listes de membres d’une Société Secrète Américaine.
Et quelle société secrète !
Au fur et à mesure que les pages défilaient, il devenait dé plus en plus évident qu’il ne s’agissait pas de n’importe quel groupe.
Les noms étaient synonymes de Pouvoir avec un grand P.
Tandis qu’il contrôlait l’identité de chacun de ses membres émergeait une construction étonnante, et ce qui constituait auparavant un monde flou devenait clair comme du cristal...
Cette société secrète qui avait pour emblème un crâne et des tibias entrecroisés, Skull and bones, n’était rien d’autre que l’ « Ordre de Yale », l’Ordre des Illuminés de Bavière en sa descendance, ayant pour quartier général l’Université de Yale.
Antony Sutton commença à publier ses résultats d’enquêtes sur l’Ordre sous la forme de grosses brochures “An Introduction to the Order” (LIRE) ; “How the Order control Education” ; “How the Order creates War and Revolution” ; “The Secret Cult of the Order” qui seront complétées par une autre brochure uniquement consacrée à un membre éminent de l’Ordre, le futur président des Etats-Unis, George Bush (père) “Two Faces of George Bush”.
En 1986, A. Sutton regroupera ses brochures en un seul volume qu’il intitulera “America‘s Secret Establishment”.
Ce volume constitua une réponse documentée aux questions que voulait résoudre l’auteur il expliquait pourquoi l’Occident a édifié l’Union Soviétique et soutenu Hitler ;
pourquoi les américains sont entrés dans la 2e Guerre Mondiale pour perdre dans beaucoup de domaines ;
pourquoi Wall Street aimait les Marxistes et les Nazis ;
pourquoi les enfants ne savent et ne peuvent pas lire ;
pourquoi les Eglises sont devenues des centres de propagande mondialiste ;
pourquoi les faits historiques (dérangeants) sont étouffés ;
pourquoi les politiciens passent leur temps à mentir, etc., etc.
Antony Sutton concluait en déclarant que cet ouvrage était infiniment plus important que ses livres sur la Technologie Occidentale et le soutien à l‘Union Soviétique et que s’il avait un « magnum opus », c’était bien celui-là.
Et comment ! L’Ordre de Yale n’est qu’une extension de l’ Ordre des Illuminés de Bavière fondé au XVIII° siècle par le sinistre Adam Weishaupt.
Tous les Cercles Mondialistes (Trilatérale, Bilderberg, CFR, Pilgrim Society, Conseil Atlantique...) ne sont que des cercles extérieurs de l’Ordre de Yale, un des plus importants « noyaux dirigeants » de la Subversion, à l’échelle de la Planète.
William G. Carr avait démontré dès les années 50 que les Illuminati Pike et Mazzini étaient responsables du programme luciférien des “Trois Guerres Mondiales” voulues pour instaurer le fameux « Gouvernement Mondial ». (LIRE)
Les Illuminés de Yale oeuvrent dans le même sens : la domination mondiale demeure leur préoccupation majeure.
On comprend dès lors pourquoi l’Ordre s’est immiscé dans le domaine de l’Education pour mieux contrôler les peuples et les conduire ensuite dans des cycles infernaux de crises, de guerres et de révolutions.
On comprend aussi pourquoi de tels individus, pourris jusqu’à la moelle, ne peuvent être que des serviteurs de Lucifer.
Les rituels qu’ils utilisent ne laissent aucun doute à ce sujet.
C’est dire l’importance d’un tel ouvrage qui n’a pas son équivalent en français !
Vous ne serez pas surpris d’apprendre que suite à ses travaux sur l’ « Ordre de Yale », Antony Sutton fut l’objet d’une attention toute particulière de la part des « Hauts Mondialistes » qui, en général, ne “goûtent” pas du tout ce genre de publicité intempestive !
Leur hargne ne connut plus de bornes : à partir de ce moment-là, Antony Sutton ne put faire de recherches dans les Grandes Bibliothèques, les Archives et les Bibliothèques Universitaires.
Des ordres discrets avaient été donnés pour en interdire l’accès à ce “dangereux personnage” qui osait dévoiler ce qu’il est interdit de dévoiler et que le “vulgum pecus” se doit d’ignorer pour son “plus grand bien” !
Ce fut la “retraite forcée” qu’il occupa en publiant deux “Lettres d’Informations” qui osaient révéler ce que la grande presse aux ordres avait pour consigne de taire.
En quittant Stanford il avait lancé « The Phoenix Letter », lettre mensuelle d’informations consacrée à dénoncer les infractions de la Haute Politique, courrier qu’il publia jusqu’à sa mort.
Suite aux persécutions des mondialistes, qui commencèrent après la parution de ses travaux sur l’ “Ordre”, Antony Sutton lança en 1990 une nouvelle “Lettre” intitulée “Future Technology Intelligence Report” consacrée aux “techniques muselées” car les Hauts Mondialistes exercent dans ce domaine un pouvoir absolu.
Antony Sutton vécut donc retiré du monde, gardant seulement contact avec une de ses deux filles, subissant les contrecoups de l’ostracisme d’individus aux ordres de celui dont il a été dit qu’il est le « Prince de ce Monde ».
Il avait osé pénétrer et publier des secrets parmi les mieux gardés au monde, ce qui constitue, n’est-ce pas, un crime abominable.
Avant de quitter la scène de ce monde, Antony Sutton publia en 1995 un petit ouvrage de 115 pages donnant la substantifique moelle sur une question des plus importantes puisqu’elle a empoisonné le monde entier : celle de l’Argent et des « Maîtres de l’Argent » qui gouvernent de fait la planète : « The Federal Reserve Conspiracy ».
Ouvrage documenté fournissant toute les preuves du complot.
Car il s’agit bien d’un Complot de la Réserve Fédérale !
Tous les pays du monde sont tenus par les Banques Centrales où dans certains pays, comme la France, des “familles” se cooptent de siècle en siècle pour exercer un pouvoir réservé à une élite très spéciale...
Rappelons pour mémoire que la Révolution Russe de 1917 fut décidée, entre autres, parce que le Tsar refusait la création d’une Banque Centrale en Russie.
Un tel affront vis à vis des « maîtres du monde » ne pardonne pas...
En publiant ce dernier ouvrage — qui reprenait en fait le titre exact d’un excellent volume publié dans les années 50 par Eustace Mullins, cité par William G. Carr dans « Des Pions sur l’échiquier », Antony Sutton désirait attirer l’attention sur les comploteurs qui vont provoquer la 3e Guerre Mondiale grâce à l’étincelle du « Proche-Orient », conflit majeur qui verra la destruction simultanée du Sionisme et du Monde Musulman telle qu’annoncée dans la fameuse lettre de Pike à Mazzini en 1870-71 !!! (LIRE)
Les descendants de ces hauts lucifériens se réunirent donc à Jekyl Island en 1910 et décidèrent la création de la Réserve Fédérale US ; ils réussirent le tour de force de faire adopter en 1913, par le Congrès des Etats-Unis, leurs décisions prises dans le plus grand secret.
Les Puissances d’Argent remportèrent ce jour-là une victoire dont les peuples ne mesurent pas, encore aujourd’hui, l’importance ; « Mammon » exerce depuis cette date un pouvoir extraordinaire sur toutes les nations du globe.
L’Argent règne en maître ; tout le monde en conviendra.
Remercions en conséquence des auteurs aussi courageux qu’Antony Sutton qui osa combattre des puissances infiniment plus puissantes que lui et qui, ainsi que l’écrit Pierre de Villemarest dans sa “Lettre d’Information” n° 8 du 14.09.2002, « n ‘eurent de cesse de faire disparaître ses parutions et de l’interdire de signature ou de références dans les médias, jusqu ‘en France où depuis 25 ans nous avions convenu de ne pas étaler nos recherches et écrits conjointement menés ».
Espérons que ses ouvrages irremplaçables ne tomberont pas dans l’oubli et continueront à être édités ou réédités aux Etats-Unis et même, traduits dans nos pays d’Europe où la censure et le terrorisme intellectuel sévissent plus que jamais !"


LIVRES DE MONSIEUR ANTONY SUTTON :

WALL STREET AND THE RISE OF HITLER, par Antony C. Sutton.
http://reformed-theology.org/html/books/wall_street/index.html

WALL STREET AND THE BOLSHEVIK REVOLUTION, par Antony C. Sutton.
http://reformed-theology.org/html/books/bolshevik_revolution/index.html

THE BEST ENEMY MONEY CAN BUY, par Antony C. Sutton.
http://reformed-theology.org/html/books/best_enemy/index.html

En français, la première partie de son livre sur l'ordre des Skull and Bones => introduction-a-l-ordre.html


« Nous remercions le Washington Post, le New-York Times, Time Magazine et les autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant au moins quarante ans.
Il eut été impossible pour nous de développer notre place mondiale si nous avions été l'objet d'une publicité quelconque pendant ces années-là.
Mais le monde est aujourd'hui vraiment plus sophistiqué et préparé à marcher vers un gouvernement mondial.
La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et des banquiers mondiaux est certainement préférable aux décisions nationales qui se pratiquent depuis des siècles».
DAVID ROCKEFELLER, président de la Chase Manhattan Bank, du CFR, TRILATERALE, lors de la session du Bilderberg group en 1991.
source : http://www.themoneymasters.com/article.htm
Il est bon de noter que monsieur Bill Clinton, alors gouverneur et futur président américain était présent à cette conférence...

« Les gouvernements de ce siècle ne sont pas en relation seulement avec les gouvernements, empereurs, rois et ministres, mais aussi avec les sociétés secrètes, éléments dont on doit tenir compte et qui au dernier moment peuvent annuler n'importe quel accord, qui possèdent des agents partout - agents sans scrupule qui poussent à l'assassinat, capables, si nécessaire, de provoquer un massacre. »
Benjamin Disraeli (1804-1881), alias Sir Beaconsfield, ministre anglais, dans un discours prononcé à Aylesbury le 20 Novembre 1876. Cité par Yann Moncomble : "L'irrésistible expansion du mondialisme" Paris, 1981, page 212.

"L'écrivain et le journaliste se croient et se disent libres. Ils ne le sont pas. La liberté d'expression de leur pensée est limité par la volonté des dirigeants du journal ou de la revue ou de la maison d'édition.
Et ses dirigeants sont, soit des membres de la féodalité financière, soit ses employés."
A. Hamon : Les Maîtres de la France.


SAINT AUGUSTIN : 354 - 430. Grand Saint Berbère. (Le grand Africain de Thagaste. Constantine-Sétif), Les Confessions, liv. Xe, chap. XXIII :
"Le BONHEUR est inséparable de la possession de LA VÉRITÉ... (Mais pourquoi la vérité engendre-t-elle la haine ?)"
Extrait tiré du site : http://perso.wanadoo.fr/thomiste


Mis en ligne en Novembre 2004.